Coucou les filles !
Bon bah sans détour : aujourd'hui, vendredi Cathy Howse pour l'avant-dernier thème-fiche de lecture ! :-)
Aujourd'hui, on va donc parler ensemble de l'industrie cosmétique, et plus particulièrement de celle des cheveux. Dans son livre, Cathy Howse partage encore pas mal de choses intéressantes sur le sujet, mais je l'ai trouvée un peu péremptoire, parfois, dans son discours, c'est dommage. ça gâche un peu la lecture, je trouve, parce que ça manque de neutralité...
Vous allez finir par croire que je passe mon temps à la critiquer... :-s Mais bon, je vais vous traduire les premières phrases du chapitre où elle aborde ce thème. Vous vous ferez votre avis, comme ça.
Vous allez finir par croire que je passe mon temps à la critiquer... :-s Mais bon, je vais vous traduire les premières phrases du chapitre où elle aborde ce thème. Vous vous ferez votre avis, comme ça.
---------------------------
"Avant la sortie de Ultra Black Hair Growth, en 1990, il n'existait aucun livre fiable qui traitait de la pousse des cheveux afro. J'étais en attente de réponses bien différentes de celles que les professionnels de l'industrie capillaire (coiffeurs, fabricants...) me fournissaient jusqu'ici.
[Avec mon livre] on avait enfin entre les mains, la description d'un système de pousse qui faisait ses preuves ! Pas un ramassis de fausses déclarations sur les problèmes de pousse des cheveux afro, comme avant. (...)"
---------------------------
Voilà ce dont je parle, quand je dis que je la trouve péremptoire. Et là, ce n'est qu'un exemple, le livre est saupoudré de ce genre de petits trucs parasitants. Enfin bref ! Venons-en à ce qui nous intéresse, le cœur du sujet !
Souvent, les professionnels des cheveux, sont contre le fait de trop informer leur clientèle en matière de soin des cheveux. Scandalisant, n'est-ce pas ?
Pourtant, vous avez déjà du le ressentir, vous aussi, ou même mené une coiffeuse à vous l'avouer à demi mot. Genre, "Bah si je vous dis tout ce que je sais, vous ne reviendrez plus !", et sous-entendu, aussi "Et c'est la fin de mon commerce". Dans l'absolu, c'est complètement idiot, de penser comme ça, mais bon, on n'en est qu'au début du post, donc on ne va pas s'attarder là-dessus.
Pourtant, vous avez déjà du le ressentir, vous aussi, ou même mené une coiffeuse à vous l'avouer à demi mot. Genre, "Bah si je vous dis tout ce que je sais, vous ne reviendrez plus !", et sous-entendu, aussi "Et c'est la fin de mon commerce". Dans l'absolu, c'est complètement idiot, de penser comme ça, mais bon, on n'en est qu'au début du post, donc on ne va pas s'attarder là-dessus.
Très souvent aussi - et c'est bien triste - les professionnels ne veulent pas trop informer leur clientèle, mais ce n'est qu'une façade. En fait, ils n'en savent pas plus que nous, malgré leur formation en cosmétique, en coiffure ou autre. C'est pas un comble, ça ? On confie parfois nos têtes à plus ignorants que nous... ça fait peur. Mais bon, il y a de bons moyens de voir à qui on a à faire.
Signes à repérer pour savoir si le coiffeur est digne de confiance
C'est super simple ! Il suffit de regarder sa tête et l'état de ses cheveux. S'ils sont en friche, secs, dégarnis, cachés sous un tissage mal entretenu... Fuyez !
Jetez un coup d'œil aussi à l'état du salon. Si des cheveux traînent en boule par-terre et que c'est sale, faites demi-tour vers la sortie ! Hors de question de poser sa tête dans un truc malpropre... :-s
Question autorité
Comme on a commencé à voir au début du post, souvent, les professionnels - logiquement sensés représenter l'autorité en matière de soin capillaire et tout le reste - n'y connaissent pas grand-chose et véhiculent même parfois ces vieux mythes qui ont la dent dure. Cela peut aussi être la presse spécialisée.
Du coup, il est important de toujours prendre du recul et faire preuve de sens critique par rapport aux informations qui se présentent à nous, quelque soit leur source ou leur légitimité. Le cheveu, ce n'est pas une science exacte, donc ce qui fonctionne pour un ne fonctionne pas forcément pour l'autre et rien n'est magique ou miraculeux ! ;-)
En fait, pour faire pousser ses cheveux, il ne faut pas attendre sur le coiffeur. L'acteur majeur, dans cette aventure, c'est nous-même. Et oui, comment un coiffeur qui nous voit 5 ou 6 fois (et encore !) dans l'année peut-il être le seul responsable des longs cheveux qu'on va avoir ? Il y a encore 360 jours restants, dans l'année ! Et c'est plutôt durant ces jours là que ça se joue...
Choisir son coiffeur et en être satisfaite
Voici une petite liste de choses à faire pour se trouver un bon coiffeur, selon les conseils de Cathy.
- Faire fonctionner le bouche à oreille : quand une copine ou autre nenette de l'entourage est satisfaite de son coiffeur, ça peut être sympa d'aller y faire un tour.
- Dire d'emblée au coiffeur ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas faire à nos cheveux : l'autorité, ça doit être nous, dans l'affaire, pas le coiffeur. Tant qu'on paye, il doit faire ce qu'on lui demande.
- Poser des questions au coiffeur pendant le service : ça montre qu'on est attentive à ce qu'il fait et qu'on n'a pas "lâché notre tête entre ses mains, à son bon vouloir".
- Signaler tout inconfort : on n'est pas là pour se laisser griller le crâne au défrisant ou griller les cheveux au lisseur pour faire plaisir au coiffeur...
Question coupe et taille des cheveux
Ici, Cathy s'attaque à quelques mythes donc j'ai retenu ces deux principaux pour qu'on en finisse avec, une bonne fois pour toute :
Couper ses cheveux à la nouvelle lune les fait pousser.
Couper ses cheveux les fait pousser plus vite.
On en a déjà beaucoup parlé, on sait que le taux de pousse chez chacun est immuable car inscrit dans le code génétique. Du coup, si un coiffeur vous approche avec ces deux arguments, virez-le !
Et même, rétorquez-lui que couper souvent, ça sert uniquement à conserver des pointes épaisses et uniformes. Si ce n'est pas ce dont vous avez envie sur le moment, il n'a rien à y dire. On le dispense de commentaires. Et si par hasard il faisait peser sur vous l'opprobre des fourches parce que vous ne coupez pas, dites-lui que les cheveux fourchent à cause de l'usure, pas parce qu'on ne coupe pas. Des cheveux non coupés ne fourchent pas forcément plus que les autres, si on s'en occupe bien ! ;-)
Ici, Cathy s'attaque à quelques mythes donc j'ai retenu ces deux principaux pour qu'on en finisse avec, une bonne fois pour toute :
On en a déjà beaucoup parlé, on sait que le taux de pousse chez chacun est immuable car inscrit dans le code génétique. Du coup, si un coiffeur vous approche avec ces deux arguments, virez-le !
Et même, rétorquez-lui que couper souvent, ça sert uniquement à conserver des pointes épaisses et uniformes. Si ce n'est pas ce dont vous avez envie sur le moment, il n'a rien à y dire. On le dispense de commentaires. Et si par hasard il faisait peser sur vous l'opprobre des fourches parce que vous ne coupez pas, dites-lui que les cheveux fourchent à cause de l'usure, pas parce qu'on ne coupe pas. Des cheveux non coupés ne fourchent pas forcément plus que les autres, si on s'en occupe bien ! ;-)
Acheter ses produits capillaires
Là aussi, c'est super simple. Voici la règle absolue à ne jamais enfreindre :
Ne JAMAIS demander de conseils capillaires à une vendeuse pour choisir ses produits.
En effet, la vendeuse n'est pas payée pour faire des ordonnances capillaires, car d'une part, elle n'y connaît souvent rien en matière de cheveux (la preuve, ici) et d'autre part, elle est là avant tout pour vous faire ouvrir le porte-monnaie et le délester des sousous qu'il y a dedans.
Et oui, souvent, si vous achetez les produits qu'elle vous propose, elle touche une commission de vente pour ça. En gros, elle s'en fout de vos cheveux, pourvu que vous achetiez un truc. Oui, je sais, c'est moche, mais c'est comme ça. Et parfois en plus, elles utilisent des stratagèmes pour brouiller la méfiance.
Conclusion, tenons-les à distance !
Et oui, souvent, si vous achetez les produits qu'elle vous propose, elle touche une commission de vente pour ça. En gros, elle s'en fout de vos cheveux, pourvu que vous achetiez un truc. Oui, je sais, c'est moche, mais c'est comme ça. Et parfois en plus, elles utilisent des stratagèmes pour brouiller la méfiance.
Conclusion, tenons-les à distance !
Voili, voilou ! J'espère que cette fiche vous aura plu aussi, comme la semaine dernière. ;-)