mardi 11 février 2014

Setbacks : mieux vaut prévenir que guérir !

Coucou les filles !

Aujourd'hui, je vous propose de parler un peu de notre bête noire : les setbacks. En fait, comme la semaine dernière, la lecture du blog RHH de Nadege - - m'a inspirée.
POur la petite histoire, elle a décidé de faire une série de posts sur les trucs à faire pour éviter les setbacks et elle sort un petit thème chaque semaine, ce qui fait grossir la série au fur et à mesure.

Les deux premiers posts m'ont plu énormément, du coup, j'ai décidé de suivre religieusement la série et de revenir vous en parler ensuite ici, en ajoutant un peu de ma sauce, au passage, quand ça s'y prêtera. Enfin bref !

Alors pour commencer, elle différencie deux types de setbacks : 
  • Le setback fulgurant. Celui qui jette nos cheveux à terre, de manière quasi instantanée, comme après un défrisage abusif ou une colo/décolo ratée. Le constat - à déplorer - est tout aussi instantané que l'apparition des dommages. Le point "positif" de ce type de setback, c'est qu'on peut tout de suite cibler le responsable des dégâts et agir en conséquence...
  • Le setback latent. Le plus dangereux des deux, car insidieux. Il s'opère en sous-marin, jour après jour, sans qu'on ne s'en aperçoive. En fait, on devrait plutôt dire qu'on ne sait pas voir les premiers signes d'un setback latent (Chute de cheveux, petit bouts de cheveux par terre ou dans le lavabo après le coiffage, pellicules....) qui grignotent, doucement mais sûrement le capital santé - et longueur - de nos cheveux, jour après jour. Au final, quand on finit par se rendre compte qu'on a été victime d'un setback latent, ils s'est déjà passé plusieurs semaines... :-(


Pour ma part, j'en ajouterai un troisième : 
  • Le setback couillon. Oui, couillon. Je vous donne un exemple. C'est le genre de setback qui te fait couper tes cheveux par inadvertance lorsque tu enlèves des tresses avec rajouts. Il peut-être très féroce, au point de créer un "trou" au milieu de ta tête où tu n'auras plus que 5/6 cm de cheveux qui vont jurer par rapport aux 30 cm de longueur du reste de ta tête... oui, c'est du vécu ! -_- Un exemple, autre, pas vécu, mais tout aussi couillon :  le défrisage de la zélée qui va laisser le produit poser plus d'une , deux voire trois heures (oui, oui...) pour bien mater les frisouillis résistants et s'affoler de voir ses cheveux tous décatis après le rinçage....
Que faire pour revenir d'un set back ?

Faire preuve de rapidité (arrêter la pratique agressive pour les cheveux, hydrater et sceller plus, changer de coiffure ou d'accessoires de coiffure...). 

Voilà, tout est résumé en une seule petite phrase. ça a l'air simple, mais pas tant que ça. Enfin si, mais à mon sens, la difficulté réside dans le fait qu'une fois le constat des dégâts  reçu en pleine face et le plan de contre-attaque pour recouvrer la santé des cheveux mis en place, bah... ça prend du temps. Et c'est là que ça devient sacrément chiant, parce que plus le setback est sévère, plus en a envie de le faire disparaître vite et paradoxalement - ou poissardement ^ ^ - plus ça prend du temps. Tchiiiiip !

Prenons les types de setbacks cités plus haut un à un. 

Le setback fulgurant, pour commencer. Après un défrisage raté où on a vu ses cheveux tomber par poignées, on sait bien que pour retrouver des cheveux sains, il va falloir laisser le pot de crème défrisante de côté pendant un temps. Par contre, pour retrouver ses cheveux dans l'état d'avant, il va falloir compter en semaines et même en années, selon la longueur à laquelle on était.

En ce qui concerne le setback latent, en fonction du stade auquel on s'en rend compte, c'est pareil, on peut mettre entre une semaine (un micro setback du à un manque de nutrition des cheveux par exemple) à plusieurs semaines ou années (setback du à des cheveux secs et qui se sont cassés sur les longueurs). Souvent, il faut en plus passer par la case ciseaux, ce qui met encore plus le moral dans les chaussettes, sur le coup.

Et pour le setback couillon, le plus rageant des trois, à mon avis, on en a souvent pour des mois à recouvrer l'état des cheveux. En pestant, car il est arrivé à cause d'une bêtise qu'on a faite et dont on aurait pu se passer....

Enfin bref, tout ce post, j'aurais pu le résumer en une phrase : 

Le setback, quel qu’il soit, c'est chiant !

Mais bon, vous me connaissez, j'aime trop parler pour me contenter d'être concise ! ^ ^ Du coup, je dirai pour conclure que pour éviter au maximum ce genre d'épisodes pas marrants, il faut agir en amont (donc le plus rapidement possible) en étant toujours à l'écoute de ses cheveux. Les cheveux semblent un peu cassants aux pointes ? Opération hydratation intense ou même baggy et SP protéiné au prochain soin, par exemple ! Et tant que vous constatez que la situation ne s'est pas améliorée, vous continuez à fignoler votre plan de contre-attaque. C'est à ce prix qu'on peut conserver la longueur chèrement acquise et voir nos cheveux "s'allonger".

Bien entendu, il n'est pas question de sombrer dans la paranoïa capillaire ni même d'éradiquer complètement la chute de cheveux où la casse (un tout petit peu, ça peut arriver), mais là où il faut agir, c'est quand on sent que quelque chose n'est pas "normal". Il ne faut pas laisser les - mauvaises - choses s'installer.

Voili, voilou pour ce post ! Et vous ? Est-ce que vous voyez d'autres types de setbacks ? Comment et à quel moment vous remarquez les vôtres ? Quels sont vos plans de contre-attaque ? 

Hâte de vous lire dans les coms ! ;-)

4 commentaires:

  1. Moi j'ai vécu un espèce de remix car mon setback a été à la fois latent et fulgurant ! En gros un jour j'ai remarqué que j'avais des cheveux super courts genre 4 cm à l'arrière de la tête alors que j'étais full SL par ailleurs. Je me suis dit : mince alors j'ai eu une casse bien localisée dis donc mais voilà je ne savais pas trop quoi faire.

    Le temps passait, passait je soignais mes cheveux et un jour j'ai constaté qu'avec les cheveux lâchés il y avait tout de même un sacré "trou" du côté droit alors que je me rapproche d'APL ! J'ai mis du temps à comprendre d'où pouvait venir le problème et je pense avoir trouvé. En fait au moment de faire le défrisage je finissais toujours par l'arrière droit de la tête (et le rinçage suivait rapidement car l'avant commençait à piquer... plus les cheveux poussent et plus l'application est longue, bref) donc au final les cheveux à cet endroit n'avaient jamais le temps de prendre le défrisage. Je pense que les cheveux ont fini par se casser à la jonction cheveux défrisés et non défrisés...

    Aujourd'hui j'ai toujours mon trou, mais je fais (ou plutôt ma mère fait) mon défrisage en deux fois d'abord l'arrière et ensuite l'avant. Seulement, je trouve que mes cheveux à l'arrière peinent peinent à prendre le défrisage du coup je ne sais pas trop comment faire pour résoudre le problème. Je suis ok pour couper mes cheveux petit à petit pour que ça redevienne harmonieux mais tant que mon côté droit "refusera" de prendre le défrisage le problème risque d'être récurrent. Je ne sais plus quoi faire...

    Certaines d'entre vous ont elles déjà eu le problème et si oui comment y avez-vous remédier ?

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    1. Coucou Angie !
      Une question : tu défrises très lisse ou alors tu texlaxes ?

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    2. hmmmm on va dire que je défrise lisse "sans plus" car j'ai encore de très légères ondulations mais on ne peut pas vraiment dire que je texlaxe.

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    3. Pardon pour le retard de réponse, ça m'a échappé dans le flot !
      A mon avis au delà d'un problème de défrisage qui prend mal, il faut très probablement que tu revoies ta manière de traiter cette zonne de ta tête dans tes soins quotidiens, et surtout le démêlage. Es-tu assez douce, quand tu passes le peigne ?

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